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Chez AT Osborne, nous sommes pas­sion­nés par les bâti­ments d’enseignement, con­sid­érant leur impor­tance dans le sup­port du pro­jet péd­a­gogique et dans le bien-être et l ’épanouisse­ment des élèves et du corps enseignant.

Les bâti­ments d’enseignement dans le fon­da­men­tal et le sec­ondaire sont impactés par 3 phénomènes majeurs : L’évolution démo­graphique, cou­plée à la crois­sance urbaine, implique un besoin accru d’établissements sco­laires. Par ailleurs, le pat­ri­moine bâti est forte­ment vieil­lis­sant, n’ayant pas fait l’objet de réin­vestisse­ments suff­isants en temps oppor­tun. Enfin, l’évolution de la pra­tique péd­a­gogique s’enrichirait d’une organ­i­sa­tion spa­tiale adaptée.

À cela s’ajoute égale­ment aujourd’hui la mon­tée en puis­sance du dig­i­tal dans l’enseignement, forte­ment accélérée par la crise san­i­taire COVID.

Le supérieur con­naît lui aus­si des évo­lu­tions néces­si­tant une réflex­ion sur son envi­ron­nement bâti : Les étu­di­ants veu­lent plus de con­nec­tiv­ité et atten­dent des infra­struc­tures qu’elles soient plus en phase avec les besoins actuels en matière de recherche, inno­va­tion et dig­i­tal­i­sa­tion. On assiste à une dématéri­al­i­sa­tion par­tielle et pro­gres­sive des lieux d’apprentissage. La sor­tie de la crise san­i­taire invite à trou­ver un nou­v­el équili­bre entre ce qu’on fait sur site et pourquoi on y vient d’une part et ce qu’on peut faire en dis­tan­ciel d’autre part. Sont ain­si à repenser tant les lieux d’apprentissage que les lieux de socia­bil­i­sa­tion, de réseau­tage et de vie estu­di­antine. Les étu­di­ants sont égale­ment deman­deurs de struc­tures per­me­t­tant de soutenir l’initiative et l’entreprenariat com­mer­cial et/ou socié­tal. Enfin et par-dessus tout, ils veu­lent être con­sid­érés et traités comme des citoyens à part entière et par­ticiper à la société.

L’évolution indis­pens­able des pra­tiques de mobil­ité a elle aus­si un impact sur le bâti sco­laire et sa place dans le tis­su urbain.

Les pro­jets immo­biliers d’enseignement sont coû­teux et com­plex­es, du fait de logiques budgé­taires et de finance­ment sou­vent peu adap­tées aux besoins, de la mul­ti­plic­ité des inter­venants liée à notre struc­ture éta­tique et aux dif­férents réseaux d’enseignement, et du fait des dif­férentes procé­dures (urban­is­tique, pas­sa­tion de marchés publics…)

En réponse aux enjeux cli­ma­tiques, les exi­gences régle­men­taires ont évolué sig­ni­fica­tive­ment et régulière­ment ces vingt dernières années. L’équation à résoudre est com­plexe, d’autant plus pour la réno­va­tion : un juste équili­bre doit être trou­vé entre les besoins de places, les exi­gences per­for­man­cielles, les bud­gets disponibles, les besoins de con­fort (cli­ma­tique, visuel , acous­tique et ergonomique) et, last but not least, l’usage courant d’une école.

L’augmentation de la tech­nic­ité des bâti­ments implique égale­ment un besoin accru de coor­di­na­tion et col­lab­o­ra­tion étroite entre archi­tectes et ingénieurs et util­isa­teurs, mod­i­fi­ant leurs méth­odes de tra­vail et relations.

Cette com­plex­ité crois­sante engen­dre un nom­bre plus impor­tant d’intervenants et d’experts.

AT Osborne, forte de son expéri­ence des infra­struc­tures d’enseignement,  joue le rôle de chef d’orchestre : nous con­tribuons à la réus­site du pro­jet en aidant le Maître d’ouvrage à choisir les bons prestataires, en les chal­lengeant tout au long du pro­jet et en assur­ant une com­mu­ni­ca­tion con­struc­tive. Nos ser­vices en la matière mobilisent toutes nos ressources de con­sul­tance et project man­age­ment.